dénuement

Comment perçoit-on la « nudité » d’un visage, surtout s’il est un beau visage de femme ? Car, en ce cas, c’est la beauté qui trouble le contemplateur, à tel point que, se sentant dans ce dénuement qu’on appelle la timidité, le voilà en lutte contre lui-même pour garder une contenance.

Frédéric Schiffter, « La belle et les jolies », La beauté, Autrement.

David Farreny, 12 mai 2025

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